20 sites utiles pour trouver un job au Japon

Toute entreprise de plus de 10 salariés se doit d’avoir un règlement intérieur qu’elle présentera à tout nouvel employé et au sein duquel doit être écrit les conditions générales de travail. Lorsque je travaillais comme serveur dans un restaurant chic de Ginza, on a du faire appel pas à un, mais deux tailleurs afin de me confectionner un uniforme qui au final, était étriqué quand même. L’entretien est particulièrement important, car en plus de juger vos éventuelles compétences linguistiques, l’employeur japonais voudra voir si vous êtes le genre de personne qui s’adaptera à la vie et aux règles japonaises si spécifiques. Tokyo est bien sûr l’endroit idéal pour un étranger qui cherche du travail, mais si vous êtes vraiment prêts à travailler dur et à apprendre, vous pourrez trouver un travail à peu près partout, en particulier dans l’enseignement, les loisirs ou la restauration.           o Maison des français à l’étranger : ici vous ne retrouverez pas d’offres d’emplois à proprement parlé, mais beaucoup d’informations utiles pour votre future expatriation. Elle permet entre autres de faciliter l’accomplissement de formalités administratives, accéder à certaines procédures ou à certaines prestations liées à la résidence à l’étranger, recevoir des informations du poste consulaire et d’être recensé par les services consulaires en situation de crise.       o Agence pour l’enseignement du français à l’étranger : vous pourrez y retrouver toutes sortes d’offres d’emplois en relation avec l’enseignement du français à l’étranger et aussi de l’encadrement scolaire.       o Espace Emploi International : le pôle emploi international propose des offres d’emplois pour l’étranger, ainsi que des ressources documentaires sur les conditions de vie et de travail par pays.

Mais, voilà, j’ai aussi l’idée de continuer des études de master au Japon, et je en sais pas vraiment comment m’y prendre pour chercher une université etc… Aurait tu des conseils ou des idées de contacts à me conseiller .

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J’ai une entreprise qui serait prête à m’engager (j’y ai travaillé presque un an en vacances-travail) mais j’aurais voulu savoir s’il était possible de partir avec un visa touristique, le temps d’obtenir le COE, et de changer mon visa une fois là-bas en visa travail.

En même temps, il y a tellement de personnes non qualifiées au métier d’enseignant qui se lancent dans se domaine, là-bas… Je comprend qu’ils commencent à durcir les prérequis d’entrée… Il y a encore pas si longtemps, avoir le français (ou l’anglais) pour langue maternelle OU avoir fait toute sa scolarité dans un pays francophone (ou anglophone) suffisait à être embaucher comme prof… Cette époque est révolue désormais… Faut dire merci à tous les gusses qui y sont allés sans diplômes particuliers dans le domaine de l’enseignement pour tenter « d’exploiter » le filon.

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Dans cette article, on parle de trouver un emploi, y résider de façon quasi permanente ou obtenir la nationalité ne sont pas du même acabit, et souvent les politiques d’immigration ne sont pas indulgente avec les personnes « âgées ». Si chercher un petit boulot peut paraître assez difficile et flippant lors de votre arrivée à Tokyo (surtout lorsque vous voyez votre compte en banque partir en vrille), cela n’a rien d’insurmontable en soi.

Elle devra se faire par vos soins ou alors par un représentant légal, un employé de l’entreprise pour qui vous allez travailler, un représentant de l’école où vous allez étudier, un représentant légal ou alors un avocat. – Parler japonais : oui, il est préférable de parler japonais pour chercher un travail au Japon, ceci facilite énormément la tâche, mais surtout laisse la possibilité d’avoir plus d’opportunités. J’ai un bac +5 bilingue anglais, et bientôt JLPT 2 de japonais, et je trouve le Japon tellement fermé (et peu intéressant professionnellement), que je n’envisage pas de faire carrière ici. Une autre possibilité et celle que moi je choisirai, est d’y monter sa boite, le capital demandé est déjà moins élevé qu’auparavant, l’emploi et l’ambiance de travail, c’est vous qui la définissez, et avec un employé, votre insertion, est déjà plus facile, puisque celui-ci pourra s’occuper des taches administratives le temps que vous progressiez dans la langue japonaise.

Les personnes bénéficiant de ce programme perçoivent une compensation financière mensuelle basée sur le niveau de vie du pays d’accueil, sans prise en compte du niveau de qualification pour le travail.

Travailler au Japon dans une entreprise japonaise ou étrangère : le guide

Enfin, en ce qui concerne le contrat de travail, il n’y en pas toujours, cela dépend des entreprises, et dans ce cas là, elles donnent une lettre d’embauche faisant référence au règlement intérieur de l’entreprise.

La chambre de Commerce et de l’industrie : Le site en français ou japonais vous donne de nombreuses informations et actualités sur le commerce au Japon et vous permet de vous inscrire dans leur base de données de CV, de consulter leurs offres pour trouver un travail ou un stage chez eux sur Tokyo ou Osaka.

Il y a aussi un onglet avec des annonces diverses où vous pouvez trouver des offres d’emploi et un autre onglet pour mettre en relation des profs et des étudiants dans la région du Kansai (Osaka, Kobe, etc…)
Club Teli : Un super site pour obtenir plein d’informations sur le Japon. Je suis actuellement dans la vente en France, j’aimerais partir un peu au Japon et me trouver un travail dans un café ou un magasin, j’ai bon espoir que d’ici là mon niveau en japonais soit assez bon.

En effet, les cours particuliers coûtent chers, et les étudiants préfèrent donc se focaliser majoritairement sur l’anglais, langue internationale des affaires, plutôt que sur le français, langue plus élitiste réservée à certains privilégiés ou passionnés. Ca devrait l’objet de sa propre recherche, le libre échange d’étudiants et de businessmans, c’est une chose, immigrer en tant que non-actif, en est une autre, et selon les pays , pas forcément la plus aisée, d’autant que le Japon vieillit, c’est plutôt des jeunes qu’ils veulent voir venir.

Trouver un travail au Japon sans parler japonais

Laisser faire toutes les demarches a l’employeur ca marche peut etre pour les grosses boites mais pour les petites je pense que c’est quand meme mieux de les faire soi-meme sachant que si on reunit toutes les conditions ca n’est pas si complique. Si vous avez un type spécifique d’emploi ou d’entreprise en vue, il sera peut-être plus efficace d’envoyer des candidatures spontanées à tous les employeurs potentiels que vous pouvez trouver.

Avec l’engouement des Japonais pour les expériences exotiques, le nombre de bars et restaurants étrangers augmente d’année en année et les managers de tels endroits recherchent souvent à avoir au moins un ou deux employés issus du pays en question. Attention, il est bon de savoir que même si vous réussissez à obtenir un COE de la part du bureau d’immigration, ce dernier ne vous garantit en aucun cas l’obtention du visa pour lequel vous allez postuler. Si vous l’achetez neuf, pensez à apporter votre gaïkokujin card car elle vous sera demandée même si une preuve d’adresse peut en théorie suffire (celle-ci peut être obtenue pour ¥300 à votre bureau local d’enregistrement en attendant que votre carte soit délivrée). Cela dépend de nombreux facteurs : expérience du candidat, maitrise de la langue locale, intensité de la recherche, distance, force du réseau sur place… Après s’être lancé dans une recherche active, il semble adéquat de faire un premier bilan passé les six premiers mois. Le Tatemae est le comportement de façade qu’adoptent les japonais en société, et qui consiste à toujours rester politiquement très correct afin d’éviter de mettre son interlocuteur dans une situation conflictuelle ou dérangeante.

Si vous disposez déjà d’un visa qui vous permette de travailler au Japon, le plus simple reste d’exercer son activité en freelance, puis de remplir annuellement sa feuille d’imposition fiscale japonaise.

Malgré quelques idées reçues (durée hebdomadaire de travail, absence de vacances), il n’en reste pas moins que l’expatriation est ardue pour qui n’est pas parfaitement préparé.

J’en parlais plus haut, au début de ce guide, le Certificate of Eligibility (ou aussi communément appelé COE) sera un document vital pour l’obtention de votre visa vous permettant de travailler au Japon. Il serait également une bonne idée d’apporter des cartes de visites, ne serait-ce que pour avoir quelque chose à donner en retour de celle de votre interlocuteur lors du rituel de présentations.

Serait-il préférable de perfectionner ma maîtrise de la langue et travailler dans une entreprise japonaise/franco-japonaise en France le temps de me faire une petite expérience, ou alors cela vaut-il le coup de me lancer directement en sortie d’école . Pour un visa de travail permanent (a vie) il faut faire une demande separee pour cela et de ce que je sais, ce visa est accorde assez difficilement, souvent apres une dizaine d’annee passe a travailler dans le pays.

A moins d’être venu sur place avec des dizaines de milliers d’euro dans l’optique de passer son temps à faire du tourisme, il est un moment où tout PVTiste se doit de chercher un travail, un petit boulot, ou « Arubaito » comme on dit en japonais. , j’en déduis, qu’il faut: (donc tout ce qui suit, est à prendre avec des pincettes)
Accéder a un visa d’études, on peut le faire à tout âge ( de toutes façons comme en France, on vous demandera de connaître la langue pour obtenir la citoyenneté ), c’est un visa d’un an renouvelable. Ce n’est pas un problème, mais sachez qu’il existe aussi au Japon un format standard pré-rempli (Rirekisho et Shokumukeirekisho) que vous pouvez acheter dans les Convenient Stores et qui doit être rempli à la main. La plupart du temps, l’inkan n’est pas obligatoire pour les étrangers, mais pour certains documents officiels, on me l’a déjà demandé et même renvoyé le chercher lorsque j’étais en faute de l’avoir sur moi. Salut, je t’ai découvert sur tes lives Youtube et j’ai quelques questions : Comment faire pour réussir a avoir un visa pour pouvoir travailler un minimum quand on a plus de 30 ans donc pas de Working holiday et n’ayant pas de License. Les Japonais, employeurs compris, adorent que leur interlocuteur Gaijin s’intéresse à leur culture et souvent si vous maîtrisez votre sujet, cela vous donnera immédiatement un statut plus élevé dans cette société hiérarchisée qu’est le Japon. Dans vos motivations, expliquez concrètement pourquoi vous voulez travailler dans cette entreprise et à ce poste, qu’est-ce qui vous attire et évitez de dire que vous faite cela pour obtenir un visa pour le Japon.

Ensuite, pensez à indiquer votre Etat Civil , le nom sera toujours écrit avant le prénom, la date de naissance et la situation familiale, et bien entendu comment vous joindre (email, téléphone, adresse postale). À noter : les Français qui résident moins d’un an au Japon – seul le visa japonais de l’immigration faisant foi – peuvent conduire avec leur permis français accompagné d’une traduction légalisée par la Section consulaire de l’Ambassade de France. En contrat local, les français ayant fait des études supérieures qui ont une bonne maitrise du japonais et qui disposent d’une expertise dans une fonction ou un secteur d’activité sont les plus recherchés. A titre purement indicatif, il faut compter environ 3 à 4 millions de yen pour un poste d’assistant, 6 à 8 millions de yen pour un manager, 10 millions de yen et plus pour un représentant de filiale d’une équipe d’au moins 5 à 10 personnes. Pour les langues que vous parlez, veillez à mettre lesquelles et à stipuler si vous disposez d’un test officiel attestant de votre niveau (par exemple le JLPT pour le japonais ou le TOEIC pour l’anglais), ceci est un meilleur moyen pour les recruteurs de vous évaluer. Avant d’aller à la banque, pensez à préparer votre nom complet (deuxième prénom inclus) en katakana si vous voulez que ce qui est écrit sur votre carte ressemble à peu près au nom que votre mère a choisi pour vous. Le « visa étudiant » et le « visa dependant » permettent également d’exercer une activité rémunérée dans la limite de 28h/semaine à condition d’obtenir une dérogation du Bureau de l’Immigration. Les détenteurs de visas vacances-travail sont particulièrement bien couverts, car leur visa ne dépend pas de leur employeur même si les détenteurs de visas de travail n’ont aucune raison de se laisser intimider par un employeur peu empathique. La plupart du temps, les écoles de langues demanderont des enseignants de langue maternelle et donc, les natifs de pays anglophones ont un énorme avantage par rapport aux autres, même s’ils sont moins bien qualifiés.

En ce qui concerne les mois et les jours, là, vous n’aurez pas vraiment de difficulté puisqu’ils sont comptabilisés comme chez nous, à savoir 12 mois par an et le même nombre de jours pour chacun d’entre eux, pour un total de 365 jours annuel.

Comment trouver un emploi au Japon ?

          o Ministère des affaires étrangères et européennes : si vous voulez travailler à la mission économique ou à l’ambassade de France au Japon, il vous faudra passer le concours du ministère des affaires étrangères et valider une première affectation à Paris avant d’être muté au Japon. Elle a commencé les démarches guidées par ses professeurs, voudriez-vous me donnez quelques tuyaux en ce qui concerne les préparatifs pratiques, style : on lui a parlé d’ouvrir un compte bancaire la-bas. Si vous êtes très qualifié ou bien spécialisé, ceux-ci ne pourront probablement pas faire grand-chose pour vous puisque de l’aveu du personnel d’accueil, leurs services sont des “bouées de sauvetage” plutôt que des cabinets de recrutement.

Que vous en ayez marre de votre emploi actuel, de la façon dont votre employeur vous traite, ou que vous ayez trouvé un meilleur job quelque part ailleurs, n’hésitez pas à démissionner, c’est très facile au Japon. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, ces types d’emplois ne devraient pas être sous-estimés, car ils paient bien et ne sont pas particulièrement difficiles à trouver, même si vous ne ressemblez pas à Brad Pitt ou Angelina Jolie.

salut Aala je voudrais savoir si je pourrais de venir mangaka au japon par se que je ne sais pas si il vont attribués se metié a une étrangère mais je voudrais vraiment le relaissé car c’est mon plus grand rêve de vivre au Japon a Tokyo et d’être mangaka et si tu pouvais me dire des conseilles pour que j’arrive merci d’avance et j’adore tes vidéos 🙂. Si vous devenez copains comme cochons, ce patron pourra vous donner votre chance dans son bar ou son restaurant, voire même faire circuler votre CV chez tous ses potes restaurateurs en manque de bras.
Bureau Veritas : Pour les surdoués en japonais et en anglais qui ont au moins bac+5 vous trouverez via cette entreprise de placement, des postes de cadres en informatique, marketing, management et finance entre autres.

prochainement je vais écrire des articles sur comment lancer son activité professionnelle (entreprise, …) au Japon (basé sur mon expérience personnelle et de nombreux retours d’étrangers). De plus, envoyer votre application depuis le Japon montre à votre employeur que vous êtes vraiment sérieux et que travailler au Japon n’est pas un coup de tête ou une idée passagère ou non réfléchie de votre part. Lors de la phase de rédaction de votre CV japonais, vous allez devoir utiliser du vocabulaire japonais, et très probablement des termes que vous n’avez pas l’habitude d’écrire ou d’utiliser couramment. Personnellement, j’ai eu la chance de décrocher un contrat pour enseigner la biologie dans un lycée international en échange d’un excellent salaire, mais avant cela, j’ai dû travailler dur dans un restaurant et donner des cours de Français. Le Japon étant un marché relativement fermé aux étrangers, il est d’autant plus indispensable de construire et de bénéficier d’un réseau sur place (souvent par le biais d’associations) pour avoir connaissance d’opportunités via le bouche à oreille. Il n’autorise pas à travailler, contrairement au visa d’époux, mais il est possible de faire une demande de dérogation pour obtenir une autorisation de travailler un maximum de 28 heures par semaine.

Dans des environnements très japonais, plus que la compétence, ce qui intéresse les recruteurs, c’est de savoir si votre personnalité est compatible avec l’entreprise et l’équipe déjà en place.

Je disais que le visa étudiant permet de travailler, mais uniquement à temps partiel et après avoir obtenu un permis de travail distinct du visa (toutes les infos sont de toute façon sur le site du bureau de l’immigration).

Il s’agit tout simplement d’un document délivré par les bureaux d’immigration régionaux basés au Japon et prouvant qu’un individu, non japonais, remplis les conditions éventuelles lui permettant d’obtenir le visa dont il fait la demande.
Japan English Teacher : Comme son nom l’indique, ce site propose des offres pour les anglophones dans tout le Japon, mais rien ne vous empêche de postuler aussi si votre niveau d’anglais est bon.

bonjour,je souhaite me rendre a hong kong pour une formation de 15 jours,je c’est deja chez qui je part je penser partir en tant que touriste et effectuer ma formation en meme temp,me faut il un visa de travail. L’entreprise obtiendra, sur un délai variable de 2 à 3 mois, le certificat d’éligibilité (document souvent indispensable) qui vous permettra ensuite d’obtenir votre visa en quelques jours après dépôt de votre dossier au Consulat du Japon en France ou une nouvelle fois au Bureau de l’Immigration pour ceux qui résident au Japon.  
– Divers  : Là ce sera en fonction de votre réseau personnel et de ce que vous trouvez sur place en cherchant bien : Caissier en conbini, vendeur en magasin ou acteur à la télévision si vous avez de la chance.

Un encart très important de votre CV seront les activités en extra que vous pratiquez, les activités à caractère sociale seront un plus auprès d’un employeur japonais (capacité à participer au bien de la collectivité). Cela dit, je me tourne de plus en plus vers le Japon, qui, d’après les informations que j’ai glané, cherche pas mal d’ingés dans mon domaine (électronique, électrotechnique, …).

Ces sites de recherches d’emplois proposent des offres dans de multiples domaines (bancaire, informatique, comptabilité, marketing, vente, ingénierie, etc) et les offres emplois des entreprises s’adressent à des candidats avec Master + et ayant souvent de l’expérience dans leur domaine.

Comme je vous le dis dans mon article « Visa pour le Japon », il existe pas moins de 27 titres de séjour pour le Japon, vous permettant de venir, de manière plus ou moins longue, au pays du soleil levant.
Concernant le japonais, c’est toujours mieux de le parler pour postuler à plus d’offres mais dans le domaine de l’informatique si tu pars anglais c’est déjà bien et tu pourras trouver.

Nous pouvons, néanmoins, remarquer dans les faits que l’employé doit au moins bénéficier d’une licence (BAC+3), que le contrat de travail ne doit pas être précaire (pas de temps partiel, pas d’activité ponctuelle…), que le salaire doit être raisonnable pour justifier d’un niveau de vie suffisant au Japon (au minimum 200 000 yen) et que la formation et l’expérience de l’employé correspondent au poste pour lequel il effectue sa demande de visa.

Cependant, certains établissements restent encore ouverts, et il est possible d’enseigner le français à condition de disposer d’une licence ou d’une expérience préalable dans l’enseignement. Donc je voulais savoir même si je sais que c’est une barrière pour la langue bien sur si j’ai comme même des chances même si je pense que c’est assez compliqué pour toi de répondre a cet question . je vais être réaliste avec toi, beaucoup de japonais mangaka galèrent pour réaliser leur métier et en vivre, alors il te faudra quelque chose de vraiment unique pour arriver à percer dans ce milieu.

Je ne vais pas rentrer dans les détails du droit du travail au Japon, d’une parce que ce serait très long, et de deux parce que je ne le maitrise pas pleinement et que je n’ai pas d’expertise en la matière. Avoir le FLE, ça ouvre des portes qui sont désormais fermées à ceux qui ne sont pas détenteurs de diplômes d’enseignant, tout en se démarquant d’eux pour les portes qui leurs sont encore ouvertes ou entre-ouvertes….

Si vous ne parlez pas le japonais, ou ne maitrisez pas cette langue, soyez honnête et n’essayez pas de faire remplir ce CV par quelqu’un d’autre, parce que le jour de l’entretien d’embauche, votre niveau de japonais sera visible. Détenir un visa de travail valide au moment de vos démarches est un avantage significatif, voire même, quelquefois, un pré-requis pour se voir offrir un emploi à temps partiel (arubaito ; アルバイト) comme la plupart des emplois d’enseignant de langue.